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7 août 2017

Pompe à Chaleur Viessmann Vitocal 200 : nouvelle gamme 100% allemande !


Toujours plus performantes, les pompes à chaleur aérothermiques (air/eau) Viessmann font peau neuve avec la refonte de la gamme Vitocal 200 et la sortie de nouvelles versions.

Outre leur fonctionnement extrêmement silencieux, elles offrent encore de meilleures performances et une excellente qualité de fabrication et de finition hors pair « 100% Made in Germany », un pays aux conditions climatiques particulièrement rudes en hiver et qui réclame donc des dispositifs de chauffage performants et robustes. Les clients fidèles à la marque ne s'y sont jamais trompés et Viessmann peut aussi fêter cette année ses 100 ans d'existence !


15 janvier 2017

Pompe à chaleur air-eau split Viessmann Vitocal 100-S : nouvelle génération de PAC !

Viessmann Vitocal 100-S Pompe à Chaleur PAC

Avec un rapport qualité/prix véritablement attractif, qui se double de la qualité reconnue du fabricant et de toutes ses performances maison, Viessmann lance la commercialisation de la nouvelle génération de pompe à chaleur air-eau split Vitocal 100-S (de 4 à 16 kW), particulièrement adaptée au marché du neuf dans sa version monophasé 230V et à la rénovation pour la déclinaison 400V.

La Vitocal 100-S est une pompe à chaleur split air/eau qui se compose de deux unités : l'unité extérieure qui extrait les calories de l'air ambiant par son évaporateur et les transporte à l'aide d'un fluide réfrigérant vers le compresseur et l'unité hydraulique intérieure qui collecte la chaleur transmise par le compresseur et la distribue à travers le condenseur dans le circuit de chauffage. Cette unité est entièrement pré-équipée, ce qui facilite l'intégration et réduit les coûts de l'installation. L'unité extérieure peut être installée sur la façade du bâtiment ou directement au sol, à proximité de l'habitation. En outre, les deux unités peuvent être éloignées jusqu'à 30 mètres l'une de l'autre et il est possible de réaliser une installation en cascade allant jusqu'à 5 pompes à chaleur.

Avec ses dimensions compactes, seulement 450mm de large, l'unité intérieure peut être installée aussi bien dans une cave que dans une buanderie. Son encombrement représente la taille d'une chaudière murale, ce qui augmente le choix de l'emplacement de l'installation par rapport à un système de chauffage traditionnel, d'autant qu'elle n'affiche que 38dB de puissance acoustique.

Affichant un Coefficient de Performance (COP) de 4,4 à 4,8 (air 7°C/eau 35°C), la Vitocal 100-S génère jusqu'à 70% d'énergie gratuite extraite de l'air. En outre, aussi bien le circulateur que le compresseur sont capables de réduire leur vitesse et leur consommation pour s'adapter précisément aux besoins de chaleur et maintenir ainsi les températures souhaitées pour le chauffage, le rafraîchissement et l'eau chaude sanitaire. La Vitocal 100-S affiche ainsi une classe d'efficacité énergétique A++/A+.

La Vitocal 100-S se pilote aisément grâce à la simplicité d'utilisation de la régulation Vitotronic 200, et la convivialité de son écran graphique et de son menu déroulant. Une navigation intuitive qui permet aussi, à tout moment, de consulter la consommation d'énergie en kWh tant pour le chauffage que pour l'eau chaude sanitaire, conformément aux exigences de la RT 2012.

Enfin votre smartphone peut prendre le contrôle de la PAC grâce au module Viessmann Wi-Fi Vitoconnect 100, et aux applications ViCare App ou Vitotrol Plus App (gratuites) disponibles sur aussi bien sur iOS qu'Android.

La Vitocal 100-S est commercialisée à partir de 4.170 € HT hors pose.

Plus d'info sur le site du fabricant : Viessmann Vitocal 100-S

28 septembre 2014

La pompe à chaleur au gaz naturel : PAC à moteur gaz ou à absorption

Une pompe à chaleur ou PAC fonctionne généralement à l'électricité. Néanmoins, des pompes à chaleur au gaz naturel, à moteur thermique ou à absorption, se développent de plus en plus actuellement et offrent des avantages non négligeables.


Une pompe à chaleur gaz fonctionne sur le même principe qu'une pompe à chaleur électrique : elle capte les calories présentes naturellement dans l'environnement et les porte à une température plus élevée qu'elle transporte ensuite dans la maison pour le chauffage ou l'eau chaude sanitaire. La seule différence provient du fait que l’énergie mécanique du compresseur normalement fournie par un moteur électrique est procurée par un moteur thermique au gaz ou bien totalement supprimée par l’utilisation d’un simple brûleur gaz (plus de compresseur) pour des PAC dites à « absorption » ou « absorption-diffusion ».

Les pompes à chaleur gaz sont soit de type air/eau (aérothermie) ou eau/eau (géothermie). Les pompes à chaleur gaz peuvent être utilisées pour tous types d'appareils de chauffage (plancher chauffant, radiateurs ou ventilo-convecteurs) avec une température d'eau atteignant les 65 à 70°C.


20 août 2014

Viessmann Vitocal 300-A : une pompe à chaleur air/eau ultra performante et silencieuse !

Nouveau design et performances accrues pour la pompe à chaleur air/eau Viessmann Vitocal 300-A, une des, voir la pompe à chaleur la plus silencieuse et performante au monde pour le logement résidentiel.


On ne remarquera pas seulement la nouvelle pompe à chaleur Vitocal 300-A pour son design moderne. Car au-delà de son spectaculaire design circulaire, avec son compresseur Inverter à injection de vapeur, la PAC Vitocal 300-A bénéficie maintenant d’un COP (Coefficient de Performance) jusqu’à 5,0 (A7/W35), et surtout d’une puissance acoustique maximale de seulement 54dB(A), soit 20db de moins que l’exigence de la certification NF PAC (100x moins) !


25 mai 2014

Viessmann Vitocaldens 222-F : pompe à chaleur hybride pour la rénovation

Bientôt disponible en France, le générateur hybride Viessmann Vitocaldens 222-F, imaginé par le premier fabricant mono marque d'équipements de chauffage en Europe, est un appareil compact combinant une chaudière à condensation au gaz Vitodens 222-F de 19kW avec échangeur de chaleur Inox-radial et brûleur cylindrique MatriX modulant, une pompe à chaleur air-eau bi-bloc Vitocal 200-S (5, 8 ou 11kW) et un réservoir d'eau chaude de 130 litres optimisé.


Ce système hybride est une solution de rénovation idéale en remplacement d’une ancienne chaudière existante, tout en étant aussi adaptée également aux nouvelles constructions.

15 mai 2014

Pompe à Chaleur : comment bien la dimensionner, la choisir et en améliorer ses performances ?

Une « Pompe à Chaleur » ou encore « PAC », est une installation qui permet d’extraire à l'aide de capteurs des calories dans un milieu extérieur (air, sol, eau) appelé « source froide » et de les transférer à l’intérieur d’un bâtiment par l’intermédiaire d’un échangeur/émetteur de chaleur (ventilo-convecteur, plancher chauffant, radiateur) appelé « source chaude ». Le transfert de chaleur s’effectue au travers d’un fluide frigorigène en circuit fermé. C’est le même principe que votre réfrigérateur mais en sens inverse !


Pompe à Chaleur - schéma de principe

Le rapport entre l’énergie consommée (par le compresseur) et l’énergie thermique fournie par la PAC est appelé le « Coefficient de Performance » (ou COP). Si le compresseur, fonctionnant avec de l’électricité, consomme 1 kWh électrique, et que le système restitue 4 kWh thermiques (chaleur) dans un bâtiment, alors le COP est de 4.

COP = kWh thermique / kWh électrique consommé

Comment obtenir un COP moyen saisonnier le plus élevé possible pour son installation ?


4 août 2013

Pompe à Chaleur : rôle et importance du ballon tampon

Tout d'abord, contrairement à certaines idées reçues, il ne faut surtout pas sur-dimensionner une pompe à chaleur (PAC). Ainsi, un dimensionnement de pompe à chaleur, en tenant aussi compte des plages de puissance proposées par les constructeurs, se détermine autour de 80 à 100% des besoins thermiques maximum (à la température extérieure de référence du lieu) du bâtiment à chauffer. Le complément est en effet alors assuré par un appoint (résistances électriques, chaudière gaz, fioul …) qui va être très rarement sollicité, autour de seulement 2 à 10% grand maximum durant la saison de chauffe, voir même aucunement de plus en plus.

En outre, il est primordial que la puissance fournie par la PAC (sans appoint) soit évacuée par les émetteurs et d'assurer pour le condenseur un débit constant et suffisant pour évacuer ses calories, permettant d'éviter les surchauffes et les courts cycles du compresseur qui l'endommageront rapidement avec un coût important de réparation. Avec l'avènement des planchers chauffants, la disparition des « énormes » radiateurs en fonte, la quantité d'eau dans les circuits de chauffage est devenue insuffisante, et ne permet pas d'obtenir ce fonctionnement de manière optimal. De plus, en attaquant en direct certains circuits de chauffage, disposant de deltaT (différence de température entre la température de départ et de retour de l'eau dans les émetteurs) ne correspondant pas exactement aux besoins de la PAC, notamment avec des radiateurs, on augmente les risques de dysfonctionnements ou de mauvaises performances. Le ballon tampon, un réservoir d'eau situé entre la PAC et le ou les circuits de chauffage, permet de résoudre ces problématiques.

Car lors du « boom » des pompes à chaleur dans les années 80-90, installées en ne respectant pas ces consignes, des milliers de PAC sont rapidement tombées en panne en l'absence de ballon tampon, de sous ou de sur-dimensionnement  ou de raccordements hydrauliques inadaptés, entraînant une mauvaise image des pompes à chaleur auprès du grand public.

De plus, on peut encore malheureusement lire ici ou là de la désinformation indiquant qu'un ballon tampon n'est pas nécessaire avec un plancher chauffant. Qu'un ballon tampon va obliger la PAC à tourner « à fond » tout le temps (ce qui est totalement faux avec des produits issus de fabricants - plutôt de pays « froids » - maîtrisant parfaitement les régulations pour le chauffage). Que les pompes à chaleur disposant aujourd'hui de la technologie « inverter » permettant de moduler la puissance du compresseur de la pompe à chaleur, peuvent fonctionner (théoriquement) avec très peu d'eau et se passer de ce ballon d'eau chaude : mais à condition encore d'avoir des DeltaT parfaitement compatibles avec la PAC ce qui est rarement le cas ! On voit aussi  des installations de pompes à chaleur qui même si avec certaines configurations pourraient théoriquement se passer de ballon tampon, ne disposent même pas à minima de bouteille de découplage !

Avec un ballon tampon, une réserve d'eau chaude intercalée entre la PAC et le ou les circuits de chauffage (et non pas raccordée « en série » pour « gonfler » simplement le volume d'eau du circuit), la pompe à chaleur ne démarre que pour chauffer l'eau contenue dans ce réservoir à la « juste » température requise, en assurant donc un temps de fonctionnement/cycle plus long compte tenu du volume d'eau plus important à chauffer. Les différents circuits de chauffage viennent alors puiser l'eau chaude qui leur est nécessaire. Ainsi, les démarrages de la pompe à chaleur sont beaucoup moins fréquents pour répondre à des besoins en eau chaude pouvant être de courte durée ou avec une température variant continuellement en fonction de la température extérieure (ex. plancher chauffant). Sans ballon tampon, impossible de faire varier la température dans le plancher chauffant sans risquer de diminuer le débit d'eau et priver le condenseur d'un débit suffisant pour ne pas le détériorer à court terme, ou d'anticiper convenablement l'inertie du plancher chauffant et ne pas, soit gaspiller de l'énergie, soit subir des décalage de température avec un manque de confort à la clé.

De plus, un volume tampon est obligatoire pour mixer des émetteurs de chauffage à eau ayant besoin de régimes de température d'eau différents tels un plancher chauffant et des radiateurs.

Il permet aussi durant les phases de dégivrage (inversion de cycle de la pompe à chaleur), ne pas priver d'eau chaude les émetteurs qui peuvent ainsi continuer de puiser de l'eau chaude dans le ballon. Dans le cas contraire, l'eau chaude produite par la PAC est utilisée uniquement pour dégivrer le groupe extérieur, en privant les émetteurs à l’intérieur du bâtiment et pouvant entraîner parfois de l'inconfort.

Enfin, un ballon tampon est également indispensable pour coupler une PAC à un autre système de chauffage à eau chaude comme des panneaux solaires thermiques ou une chaudière existante.

Le dimensionnement d'un ballon tampon dépend de la typologie de l'installation et du modèle de la pompe à chaleur. Si pour des pompes type « tout ou rien », la recommandation est de prendre environ 50 litres/kW (soit 750L pour une PAC de 15kW), avec un modèle « inverter » de bonne facture, la norme technique de 14L/kW est largement suffisante (soit environ un volume de ballon tampon de 200L pour une PAC de 15kW « inverter »). Sur du plancher chauffant, on peut même descendre à 4,5L/kWpac.

Pour un calcul et un dimensionnement plus précis du volume tampon, on peut aussi utiliser la formule suivante :


Ppac x TFmini x 1000  _  QL
p x Cp x DR          

Avec :

  • Ppac : la puissance calorifique du régime le plus faible de la pompe à chaleur en kW (pour une PAC inverter - à variation de puissance - la puissance calorifique réduite au régime le plus faible de la PAC sera égale à 30% de la puissance calorifique nominale).
  • TFmini : le temps de fonctionnement minimal en seconde (par défaut 360 secondes si la donnée n'est pas connue).
  • QL : la contenance en litre de l'installation de chauffage (pour du plancher chauffant en tube 13/16, 1m linéaire de tube contient 0.13L d'eau, soit 0.86L pour 1m² de plancher en pas de 15cm, et 0.65L en pas de 20cm. Sinon vidanger la totalité de l'installation puis la remplir en regardant son compteur d'eau).
  • p : la masse volume en kg/m3 du fluide caloporteur de l'installation de chauffage (1000 pour de l'eau non glycolée).
  • Cp : la capacité thermique massique en kJ/(kg.K) du fluide caloporteur de l'installation de chauffage (4,185 pour de l'eau non glycolée).
  • DR : le différentiel de régulation de la pompe à chaleur en Kelvin (par défaut 5K si la donnée n'est pas connue).



Dans tous les cas, l'installation d'une PAC est complexe, et demande sérieux, du temps et des compétences : pour votre installation, faites appel à un professionnel maîtrisant les métiers de Chauffagiste, Thermicien, Frigoriste et Electricien, disposant de qualifications reconnues et de références, proposant uniquement du matériel performant et robuste (température d'eau élevée même avec -15°C extérieur, certification « NF PAC »), provenant de fabricants issus nativement du monde du chauffage (meilleures régulations) et non du « froid » ou de la climatisation, et surtout connaissant extrêmement bien les régulations des produits. Sans quoi, des conseils erronés seront graves de conséquences, notamment financières (réparation et surconsommation d'énergie). Une pompe à chaleur n'est pas une « petite » chaudière gaz murale !

Car sachez qu'il serait extrêmement facile qu'un professionnel puisse vous proposer une offre moins élevée (et alléchante) sans pour autant que vous en rendiez compte, en supprimant notamment du devis le ballon tampon ou en certains accessoires indispensables. Mais après quid de la qualité globale de la prestation, des matériaux utilisés, des performances ou du service après-vente ... Forcément, ils seront amoindris !

En conclusion, une PAC quelle qu'en soit la technologie, équipée d'un ballon tampon, aura une durée de vie prolongée, tombera moins fréquemment en panne, et vous assurera des performances optimales.
18 février 2012

PAC à adsorption zéolithe Viessmann : 139% de rendement

Viessmann a profité du dernier salon Interclima 2012 pour présenter sur son stand deux nouvelles références de générateurs de chaleur dont un nouveau concept destiné aux maisons individuelles : le combiné compact zéolithe « Vitosorp 200-F » d’une puissance de 1,6 à 10/16 kW.

Une pompe à chaleur à adsorption est associée, sous le même habillage, à une chaudière à condensation d’une puissance jusqu’à 16kW, fonctionnant au fioul à faible teneur en soufre (50ppm maximum) ou au gaz. Par rapport aux chaudières à condensation traditionnelles, cette solution entièrement nouvelle permet de diminuer les dégagements de CO2 de 20% environ, tout en affichant un rendement global cumulé jusqu’à 139% (sur PCI) en association avec un système solaire.

Le module pompe à chaleur zéolithe (1,6 à 4,8 kW) couvre les besoins de base du chauffage et utilise pour ce faire l’énergie gratuite du milieu naturel, idéalement en association avec des capteurs solaires. La chaudière gaz à condensation intégrée couvre, quant à elle, les besoins de pointe.

La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber de larges quantités de substances, occupant ainsi jusqu’à la moitié de son volume, comme une éponge. La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, micro-poreuse et en nid d’abeille tridimensionnel. C’est un matériau qui cède de l’eau lorsqu’il monte en température. Les propriétés d’adsorption ont pour base les grandes surfaces intérieures ainsi que des forces d’adsorption électrostatiques élevées. Ces forces d’adsorption, en particulier, confèrent à la zéolithe la propriété d’aspirer les molécules d’eau et de les piéger. Cette adsorption des molécules d’eau sous forme de vapeur permet de capter la chaleur du milieu ambiant par évaporation de l’eau, tout en cédant de la chaleur. L’arrivée de chaleur fournie par un brûleur gaz permet d’expulser à nouveau de la zéolithe l’eau piégée. Le cycle se déroule donc en deux phases :
  • Phase d’adsorption : la zéolithe et l’eau sont logées dans un module placé sous vide. La chaleur de l’environnement, le sol, par exemple ou, idéalement le rayonnement solaire par l’intermédiaire de capteurs thermiques, vaporise l’eau qui est captée et piégée par la zéolithe. Il en résulte une chaleur d’adsorption, la zéolithe devenant chaude. Dans cette phase, la zéolithe cède la chaleur d’adsorption au circuit de chauffage.
  • Phase de désorption : lorsque la zéolithe est saturée d’eau, elle est chauffée par un brûleur gaz et cède son eau sous forme de vapeur. La vapeur se condense dans le condenseur et revient à l’évaporateur. Dans cette phase, le condenseur cède sa chaleur au circuit de chauffage.
La Vitosorp 200-F s’adapte de manière optimale aux besoins des maisons individuelles grâce à la large plage de modulation du brûleur (de 1 à 7), mais aussi à ceux des bâtiments à faibles besoins énergétiques et autres maisons passives. Le brûleur fioul en particulier, modulant à pré-mélange, est conçu selon le principe de la technologie de « flamme froide ». Il offre l’avantage de produire une réaction exothermique très stable, permettant ainsi une large modulation de puissance.

La Vitosorp 200-F se distingue non seulement par son fonctionnement silencieux, mais aussi par sa facilité d’installation. Couplée à un système solaire par exemple, son installation fait appel à des techniques bien connues. De plus, la Vitosorp 200-F est intégrable à chaque installation de chauffage existante et ce sans limitation. Avec ses dimensions compactes, elle s’intègre aussi très facilement notamment aux éléments d’une cuisine.