Après la hausse de 9,7% du prix du gaz en avril, s'inscrivant dans le prolongement de la réforme de la grille tarifaire amorcée par les pouvoirs publics en 2009, les nouveaux tarifs de l'électricité en France sont entrés en vigueur le 15 août, après que le Commission de régulation de l'énergie (CRE) a donné un avis favorable aux propositions du gouvernement le 11 août. La revalorisation moyenne est de 3 % pour les ménages et de 4 à 5,5 % pour les entreprises, avec des disparités importantes selon les offres souscrites. Ainsi, certaines factures pourront augmenter de 8 % alors que d'autres vont baisser de 2 %.
Pour l'Union Fédérale des Consommateurs (UFC - Que choisir), indique « comme l'année dernière, cette hausse, contre toute logique environnementale, pénalise davantage les consommateurs les plus vertueux : les petits consommateurs et ceux ayant des tarifs spéciaux consommant peu les jours de pointe (tarifs tempo et EJP) ».
Pour EDF : « dans un objectif d'équité entre tous les clients, la réforme de la grille tarifaire vise à permettre que les tarifs de l'électricité reflètent plus fidèlement les coûts réels de l'électricité consommée par chaque catégorie de client (production, acheminement et commercialisation) …, et répond à un objectif prioritaire : garantir sur le long terme la compétitivité du prix de vente de l'électricité française et la qualité de fourniture en permettant à EDF de réaliser les investissements nécessaires dans ses moyens de production et dans les réseaux », rappelant que les tarifs français restent « inférieurs de 25 à 35 % à la moyenne européenne » (Prix de l’énergie en Europe en 2009).
Ainsi, jusqu'à 2012, nous devrions connaitre encore différentes hausses du prix de l'électricité pour rejoindre nos voisins européens... ces hausses risquent de rendre de moins en moins intéressantes (du moins amortissable raisonnablement) les solutions de chauffage électrique, et notamment les pompes à chaleur...
Pour l'Union Fédérale des Consommateurs (UFC - Que choisir), indique « comme l'année dernière, cette hausse, contre toute logique environnementale, pénalise davantage les consommateurs les plus vertueux : les petits consommateurs et ceux ayant des tarifs spéciaux consommant peu les jours de pointe (tarifs tempo et EJP) ».
Pour EDF : « dans un objectif d'équité entre tous les clients, la réforme de la grille tarifaire vise à permettre que les tarifs de l'électricité reflètent plus fidèlement les coûts réels de l'électricité consommée par chaque catégorie de client (production, acheminement et commercialisation) …, et répond à un objectif prioritaire : garantir sur le long terme la compétitivité du prix de vente de l'électricité française et la qualité de fourniture en permettant à EDF de réaliser les investissements nécessaires dans ses moyens de production et dans les réseaux », rappelant que les tarifs français restent « inférieurs de 25 à 35 % à la moyenne européenne » (Prix de l’énergie en Europe en 2009).
Ainsi, jusqu'à 2012, nous devrions connaitre encore différentes hausses du prix de l'électricité pour rejoindre nos voisins européens... ces hausses risquent de rendre de moins en moins intéressantes (du moins amortissable raisonnablement) les solutions de chauffage électrique, et notamment les pompes à chaleur...