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26 février 2011

Atlantic Aeraulix : chauffe-eau thermodynamique BBC

atlantic aeraulix chauffe-eau thermodynamique air extraitAtlantic a profité du dernier salon ENEO de Lyon pour annoncer (enfin) le lancement de son chauffe-eau thermodynamique sur air extrait, dénommé « Aéraulix », qui sera disponible en avril prochain. Il s’agit d’un chauffe-eau thermodynamique BBC sur air extrait, produit 2 en 1 associant la VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) et la production d’eau chaude sanitaire (ECS), permettant de réaliser jusqu’à 75% d’économies.

En effet, tout logement neuf depuis plusieurs années doit obligatoirement posséder une VMC performante afin d’assurer une qualité d'air intérieure permanente et des économies d'énergie en retirant l’humidité des pièces. En revanche, cet air chaud est malheureusement extrait directement sur l’extérieur sans en récupérer de l’énergie.

Le concept de chauffe-eau thermodynamique (CETD) sur air extrait prend alors tout son sens. Grâce à sa pompe à chaleur intégrée, l'Aéraulix récupère 100% des calories de l'air vicié de votre maison pour chauffer votre eau chaude. Ce ballon d’eau chaude, qui intègre une ventilation simple flux compatible Auto, Hygro A, Hygro B et équipé d’un moteur BBC très basse consommation électrique, récupère en effet les calories sur l’air extrait afin de les valoriser sur la production d’eau chaude sanitaire. Le système fonctionne à l’aide d’un seul raccordement électrique pour les deux usages (VMC et ECS) entrainant une économie d’énergie supplémentaire, et offrant aussi l’avantage d’avoir un système 2 en 1 compact plutôt qu’un ballon d’eau chaude plus une ventilation. Il permet de contribuer à limiter les rejets de gaz à effet de serre comme le CO2 : un chauffe-eau thermodynamique rejette ainsi de 15 à 20x moins de CO2/an comparé à une chaudière gaz ou fioul.

D’une capacité de 200 litres, le chauffe-eau pompe à chaleur Aéraulix permet de couvrir les besoins quotidiens en eau chaude d’une famille jusqu’à 6 personnes (équivalent d'un chauffe-eau électrique de 300L) pour des maisons individuelles du T3 au T7 (2 à 6 sanitaires). Avec un COP (coefficient de performance : kWh restitués par rapport aux kWh réellement consommés) allant jusqu’à 4 pour un débit nominal de 265m3/h, il est le plus performant des chauffe-eau sur air extrait. Il est aussi le moins bruyant du marché avec un niveau sonore de 36 dB et très compact avec seulement 590mm de diamètre pour s'intégrer parfaitement dans un placard 600x600. Il bénéficie en outre d’une technologie ACi (anti corrosion intégrale) permettant une protection antitartre et anticorrosion permanente du ballon, Atlantic garantissant sa cuve 5 ans.

Le réglage des modes utilisateurs s’effectue très simplement sur un écran digital en façade du chauffe-eau :
  • AUTO : le chauffe-eau s’adapte automatiquement aux besoins des utilisateurs
  • ECO : économie d’énergie maximum
  • BOOST : pour assurer un besoin ponctuel rapidement avec enclenchement d’un appoint électrique (1800W)
  • ABSENCE : met en veille la production ECS en cas d’absence avec la garantie d’eau chaude au retour
  • INFO : pour visualiser en direct vos consommations et gérer vos paramètres

Le chauffe-eau thermodynamique sur air extrait représente donc à notre sens la solution d’avenir pour les nouveaux logements basse consommation, et un choix plutôt intéressant en rénovation pour remplacer son vieux chauffe-eau électrique et son ancienne VMC.



Chaudière : attention au sur dimensionnement de puissance !

Nous rencontrons très souvent des clients qui, soit par méconnaissance, par habitude à l'usage d'appareils d'ancienne génération, ou à cause des mauvais conseils de « vendeur » de chaudières, veulent ou choisissent des chaudières trop puissantes pour leurs besoins. En rénovation, il est par exemple aberrant de choisir la puissance de la nouvelle chaudière en reprenant sans réflexion la puissance de la chaudière existante, en sommant la puissance des radiateurs existants, ou en appliquant sans étude un coefficient proportionnelle au volume du bâtiment.

Car, outre un investissement généralement plus important, sur-dimensionner un générateur de chaleur risque d'engendrer une surconsommation inutile due aux mauvais rendements obtenus par des cycles de fonctionnement très courts (avec des chaudières au brûleur non modulant) et des déclenchements fréquents, ces derniers entraînant aussi un vieillissement prématuré du matériel.

Dans la mesure du possible, il est ainsi toujours préférable de dimensionner la puissance (en kW) d'une chaudière au plus près des besoins de chauffage et d'eau chaude sanitaire en fonction notamment de l'isolation actuelle (ou future) du logement ou du nombre de points de puisages d'ECS potentiellement simultanés, cette puissance nominale étant déjà généralement déterminée pour une température extérieure extrême de référence très rarement atteinte, ou juste afin de produire de l'eau chaude sanitaire avec des chaudières à production ECS instantanée alors que le logement de fait que quelques mètres carrés et n'aurait donc besoin que de quelques kW de puissance chauffage ! En effet, ces températures extrêmes n'interviennent que 3 ou 5 jours par an ! Le reste de l'année, la chaudière va travailler la plupart du temps à plus faible puissance : la puissance nécessaire n'excédera pas la moitié de la puissance nominale, signifiant que la chaudière va travailler au maximum à seulement 50% de sa charge, pour une moyenne annuelle entre 10 à 30% ! Or en général, plus la puissance de la chaudière est faible par rapport à sa capacité, moins bonne est la combustion et donc son rendement. Le rendement maximum pour une chaudière (c’est-à-dire le maximum d'économies d'énergie) est en général toujours obtenu lorsqu'elle fonctionne à plein régime, sauf notamment dans le cas de chaudière gaz à condensation modulante et disposant de « bonnes » régulations qui vont plutôt tirer parti par exemple d'un fonctionnement à 30%.

Un sur-dimensionnement de chaudière va entraîner aussi un autre problème : le nombre de démarrages et d'arrêts du brûleur va augmenter : le temps de fonctionnement annuel du brûleur est alors faible par rapport au temps d'attente de la chaudière, et plus les pertes à l'arrêt (proportionnelles à la puissance de la chaudière) prennent de l'importance sur le rendement global. Plus la chaudière est puissante, et plus les dépenses d'énergies liées à ces arrêts, c'est-à-dire l'énergie qui sera réclamée pour réchauffer un corps de chauffe de chaudière plus important avant d'envoyer la chaleur dans les tuyaux, seront importantes. Le coefficient de pertes à l'arrêt est mentionné sur la fiche technique de la chaudière, sachant qu'un corps de chauffe pourra aussi se refroidir encore plus rapidement suivant l'ambiance dans laquelle se trouve la chaudière ou à cause des pertes par balayage (notamment le cas des chaudières VMC Gaz non équipée de bouches BAZ « intelligentes »). Un corps de chauffe qui se refroidit, c'est de 10 à 30% de pertes d'énergies.

Par ailleurs, les schémas ci-dessous (répartition des jours de chauffage sur Lyon), soulignent l'importance de la modulation (meilleur rendement à faible charge) et l'inconvénient d'une surpuissance de la chaudière. Une chaudière gaz condensation avec trop de surpuissance risque ainsi de moins moduler, avec un fonctionnement se rapprochant du « tout ou rien », un rendement de combustion mauvais et des pertes inutiles lors de la pré-ventilation (évacuation des calories par la cheminée). Ainsi avec une surpuissance de 10%, comme la chaudière est seulement capable de moduler jusqu'à 20% de sa puissance, on obtient 54 jours d'exploitation sans modulation (23% de la saison de chauffe). Pendant ce fonctionnement sans modulation, de nombreux cycles de marche/arrêt du brûleur se produisent, diminuant d'autant sa durée de vie, et occasionnent des pertes thermiques lors de sa relance. Si cette surpuissance est portée au deux tiers, le délai de fonctionnement sans modulation de la chaudière double pour atteindre presque 100 jours par an, soit pratiquement la moitié de la durée de la saison de chauffe sur Lyon !



C'est aussi à l'allumage et à l'arrêt que votre chaudière produit le plus de substances toxiques (suie, CO, COV), sources d'émissions polluantes et d'encrassement de la chaudière (production d'imbrûlés au démarrage et à l'arrêt des brûleurs) qui outre un effet néfaste sur notre environnement, diminuera encore le rendement global de la chaudière.Enfin si c'est techniquement et financièrement possible, et si les besoins thermiques pour le chauffage sont faibles, il faut mieux opter pour une chaudière de basse puissance équipée d'un ballon d'accumulation pour l'Eau Chaude Sanitaire (ECS) pour encore moins de cycles de fonctionnement (pas d'enclenchement de la chaudière à chaque soutirage d'eau chaude), et donc un meilleur rendement, moins d'énergie et de rejets, longévité augmentée, … Et suivant l'énergie employée, de légèrement sous-dimensionnée la chaudière (surtout pour les chaudières bois) par rapport aux pics de consommation.


En conclusion, un dimensionnement correct de votre chaudière, notamment avec des chaudières non modulantes, vous permettra :

  • De limiter nettement votre consommation d'énergie
  • De diminuer le coût de votre nouvelle chaudière
  • De réduire la production de substances toxiques (NOX) et d'imbrûlés
  • De réduire le cout de la maintenance globale de la chaudière
  • D'augmenter la longévité de votre chaudière

5 février 2011

Danfoss « Living Eco » : Tête thermostatique électronique

danfoss living eco tete thermostatique electroniqueRécemment récompensé d’un prix international du design, la tête thermostatique électronique « Living Eco » de Danfoss se distingue par sa taille compacte et par les multiples fonctions qu’elle intègre.

Un petit affichage digital logé dans la tête permet une programmation facile de la température souhaitée, offrant une régulation précise de la température dans la pièce. Il est possible de programmer ses propres programmes d’abaissement de température, notamment la nuit.

Une fonction très utile, que le trouvait aujourd’hui principalement sur les radiateurs électriques, est aussi présente : lorsqu’une fenêtre est ouverte, la vanne le détecte et se ferme automatiquement et se ré-ouvre après 30 minutes. De plus, une fonction anti-grippage déclenche l’ouverture et la fermeture de la vanne une fois par semaine pendant les périodes où la tête thermostatique ne fonctionne pas

Enfin, une gamme « Living Connect » existe aussi est permet de piloter à distance ou de manière centralisé un ensemble de vannes thermostatiques électroniques.

22 août 2010

Dyson Airblade : Sèche-mains économique et durable !

dyson airblade seche-mainsLe sèche-mains Dyson Airblade s’inscrit dans une démarche de réduction des coûts de fonctionnement et de développement durable, idéal aussi pour les lieux ayant des exigences fortes en matière d’hygiène. Ce sèche-main révolutionnaire souffle sur les mains un rideau d’air non chauffé à 640km/h, qui balaie l’eau des mains et les sèche en seulement 10 secondes.

Avec un haut niveau d’hygiène (le seul sèche-mains certifié par NSF International selon le protocole NSF P335), Dyson Airblade est doté d’un filtre HEPA qui élimine plus de 99,9% des bactéries présentes dans l’air avant que celui-ci ne soit soufflé sur les mains des utilisateurs. Un vernis antibactérien présent sur toutes les surfaces externes limite aussi la contamination croisée.

En termes de développement durable, l’aspect intéressant est l’absence de résistance chauffante (contrairement au traditionnel sèche-mains que l’on peut trouver un peu partout dans les sanitaires accueillants du public) et la présence d’un moteur spécifique Dyson. La plupart des sèche-mains sont lents et peuvent prendre jusqu’à une minute pour sécher les mains de part leur moteur peu performant et peu puissant.

Ce sèche-mains peut ainsi consommer jusqu’à 80% d’énergie en moins que les sèche-mains à air chaud. De plus, les couts de fonctionnement sont fortement réduits car il sèche 22 paires de mains pour le prix d’un seul essuie-mains papier et ne requiert pas de consommables à acheter/stocker/recharger : plus de manipulation ou de risque de se retrouver sans papier…

Pour en avoir testé un modèle récemment dans un restaurant, je peux vous certifié que j’ai été bluffé par la performance de l’appareil Dyson, les mains ressortant sèches (et non asséchés comme avec les sèche-mains type « sèche-cheveux » !) après quelques secondes. Malheureusement le prix public est de l’ordre de 1000 euros, le réservant pour l’instant aux professionnels …

Stocker de l’énergie issue des ressources renouvelables

Les chercheurs allemands de l’institut Fraunhofer, afin de mettre fin au gaspillage engendré lorsque les éoliennes et panneaux solaires photovoltaïques produisent plus d’électricité que nécessaire, ont mis au point un concept de stockage de cette énergie sous forme de gaz naturel.

Dans un premier temps, l’énergie excédentaire est utilisée pour réaliser l’électrolyse de l’eau, ce qui aboutit à l’obtention d’oxygène et d’hydrogène.

Dans un deuxième temps, l’hydrogène est combiné avec du CO2, pour synthétiser du méthane. L’avantage de ce dernier est de pouvoir être stocké dans les réseaux de gaz naturel existants. Il pourra ensuite être reconverti en électricité si besoin, ou bien utilisé pour alimenter des installations de chauffage ou des véhicules.

Une première centrale éolienne de ce type, d’une puissance de 5 à 10MW, verra le jour en Allemagne dans les 2 ans.

4 juillet 2010

L’équilibrage hydraulique : pour des rendements optimisés !

taconova setter bypass equilibrage hydrauliqueL’équilibrage hydraulique, notion longtemps réservée aux grandes installations thermique, devient une notion incontournable dans le résidentiel. La gestion précise des débits est un facteur clé au rendement efficace d’une installation de chauffage ou de climatisation. C’est en passant dans les radiateurs et les boucles de plancher chauffant que l’eau cède les calories récupérées dans le générateur de chaleur (chaudière, pompe à chaleur, …). L’équilibrage des réseaux hydrauliques consiste à maitriser les débits en contraignant le fluide caloporteur à l’aide d’un organe de réglage.

Par exemple, dans le cas d’une installation dotée d’une pompe à chaleur, le respect du débit nominal est un facteur déterminant du rendement attendu, le fameux COP. Les performances d’une PAC sont directement liées au respect du débit nominal prescrit par le fabricant. En cas de sous-débit, la pression de condensation augmente, ce qui entraine une augmentation de l’intensité absorbée, donc de la puissance absorbée.

Pour les installations domestiques, il existe de petits accessoires d’équilibrage, très simple à mettre en œuvre. Par exemple la vanne « Setter Bypass » du fabricant Taconova, avec un procédé de lecture directe du débit apporte une réponse efficace dans ces installations qui ne nécessitent pas obligatoirement un investissement important en matériel de contrôle. Cette vanne permet d’un seul coup d’œil de vérifier le débit réel de l’installation ce qui facilite les mises en route et garanti un rendement optimal, apportant une réelle plus value technique.

La vanne Setter Bypass, par un procédé astucieux de bypass, éprouvé depuis 25 ans, permet un équilibrage précis et rapide, de tous les réseaux de chauffage, ventilation, climatisation et sanitaire, et une lecture précise du débit dans le temps quelque soit la nature ou la qualité du fluide transporté.

+ d’infos : Vanne d’équilibrage Taconova Setter Bypass

26 juin 2010

Retour du cuivre pour la réalisation des planchers chauffants

plancher chauffant cuivre basse temperatureTrès utilisé dans les années 70 lors de l’apparition des premiers planchers chauffants, le cuivre, matériau noble, aux qualités éprouvées, revient aujourd’hui dans la réalisation d’une nouvelle génération de chauffage par le sol en totale rupture avec les anciens systèmes, avec possibilité d’être mise en œuvre aussi en rénovation. Les planchers chauffants basse température (PCBT) en tubes de cuivre affichent ainsi des performances inégalées en termes de confort et d’économies d’énergie par rapport à ses homologues en matériaux de synthèses (PER) ou rayonnant électrique (PRE), avec des atouts non négligeables comme performance énergétique, confort, fiabilité, durabilité, et surtout peu d’entretien.

Le plancher chauffant est aujourd’hui l’un des modes de diffusion de la chaleur le plus agréable, en fournissant une chaleur douce, stable et homogène, grâce à leur surface d’émission de chaleur qui couvre la totalité du sol, avec possibilité de réglage pièce par pièce, éliminant les inconvénients des chauffages classiques : matelas d’air chaud au plafond, température de sol basse, air trop sec, écarts de températures importants.

Idéalement associé à un générateur basse température (chaudière à condensation, pompe à chaleur, système solaire combiné, …), un plancher chauffant basse température en cuivre est composé de tubes de cuivre posés en serpentin sous le revêtement de sol où circule un fluide qui transmet sa chaleur à la dalle. Comme les tubes sont en cuivre, la conductivité thermique de ce métal, 1.000 fois plus conducteur qu’un matériau de synthèse limite les déperditions et améliore considérablement la performance énergétique du système, permettant de diminuer la consommation d’énergie liée au chauffage d’une habitation de l’ordre de 15%., tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre.

En outre, l’inertie thermique des planchers chauffants en cuivre est considérablement réduite, la grande conductivité du cuivre évitant le déphasage souvent observé avec certains planchers chauffants. Le PCBT cuivre permet aussi le rafraichissement d’été.

Enfin, un PCBT cuivre, au contraire d’un PCBT en PER n’entraîne aucun coût de maintenance spécifique (désembouage régulier, traitement inhibiteur), grâce aux propriétés naturelles du cuivre telles que barrière anti oxygène, coefficient de dilatation très faible, matériau antibactérien évitant le développement de bactéries susceptibles d’obstruer le réseau, propriétés garantissant la fiabilité et la longévité de l’installation.

Les PCBT en tubes de cuivre ne cessent d’être optimisés et sont aujourd’hui aussi disponibles pour la rénovation avec des coûts d’installation au m² très compétitifs, et sont compatibles avec un revêtement type carrelage ou parquet.

+ d’infos : www.cuivre.org


Vidéo

29 avril 2010

Aldes Ventiléo : une ventilation double flux de fenêtre !

aldes ventileo mini ventilation double flux pour dormant de fenetreLapeyre Industrie et Aldes ont inventé un système de ventilation double flux qui s’installe dans le dormant d’une fenêtre PVC, permettant d’isoler une pièce tout en renouvelant l’air régulièrement.

Ce petit boitier, long de 80cm, appelé « Ventiléo », comprenant 2 petits ventilateurs de seulement 3,5W, assure le renouvellement de l’air (jusqu’à 20m3/h) en fonction de l’humidité ambiante mesurée par un capteur. Un échangeur thermique à « co-courant » sépare les flux d’air. Les calories contenues dans l’air sortant réchauffent l’air entrant qui passe par un filtre éliminant poussières et pollens.

Particulièrement adapté pour la rénovation des bâtiments existants, le prix annoncé est de 600 à 800€ par fenêtre, pour une économie de l’ordre de 35% par rapport à une ventilation naturelle. La mise en œuvre est souple et aisée, et peut être réalisée au rythme du changement des fenêtres. L’intégration se veut discrète sans nécessiter d’intervention sur le bâti ni sur l’aménagement intérieur.