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27 mars 2010

Viessmann VITOPEND 100-W WH1D : nouvelle chaudière BT

viessmann vitopend 100-W WH1D chaudiere basse temperature gazLe constructeur Allemand Viessmann, leader mondial dans la production d’équipements de chauffage à destination notamment des particuliers, lance une nouvelle chaudière murale basse température, la VITOPEND 100-W, inaugurant un rendement encore optimisé et une régulation plus conviviale avec un prix très intéressant.

Avec la VITOPEND 100-W type WH1D (petite sœur de la WH1B commercialisée en France depuis 2006), Viessmann, dont la robustesse et qualité de fabrication allemandes sont mondialement reconnu pour ses chaudière fioul ou gaz aux performances exceptionnelles, confirme sa position en offrant la possibilité aux ménages modeste de s’équiper avec une chaudière basse température à bruleur modulant au rapport qualité prix imbattable, et de réaliser eux aussi des économies d’énergie sans passer à côté de la qualité.

Cette chaudière basse température est déclinée en simple et double service (chauffage + ECS), en version ventouse, cheminée ou VMC, pour des dimensions très compactes (de 340 à 360mm en profondeur, de 400 à 450mm en largeur, pour une hauteur de 725mm et un poids de 36 à 39kg), permettant une installation possible de partout, sans aucun dégagement latéral nécessaire pour la mise en place ou les travaux d’entretien.

Elle adopte aussi une nouvelle régulation électronique à large écran d’affichage et avec système de diagnostique intégré, qui a déjà fait ses preuves sur la VITODEN 100-W (chaudière à condensation). La production d’eau chaude sanitaire n’est pas en reste avec des débits jusqu’à près de 15l/mn.

Ainsi, même avec un budget serré, vous pourrez vous offrir une chaudière performante et robuste avec de larges économies à la clé en remplacement de votre ancienne chaudière. Les tarifs débutent en effet à partir de 1133 € HT (modèle 24kW simple service évacuation cheminée).

8 mars 2010

Pompe à Chaleur : « alimentée » aussi au gaz naturel ou au fioul !

atlantic alfea hybrid duo chaudiere fioul pompe a chaleur integreeLes Pompes à Chaleurs n’utilisent pas toutes l’électricité comme source d’énergie. En effet, il existe aussi des PAC Gaz à moteur thermique ou à absorption, qui utilise le gaz naturel, ainsi que des PAC dites « hybrides »

Une PAC à moteur gaz, air/air ou air/eau, fonctionne donc selon le même principe qu’une PAC électrique, avec pour différence le fait que l’énergie mécanique du compresseur est procurée par un moteur thermique au lieu d’un moteur électrique. De plus, l’énergie dégagé par le moteur thermique étant valorisée, les PAC à moteur gaz présentent le double avantage de maintenir leur puissance disponible par faibles températures extérieures, sans nécessairement nécessiter d’appoint comme cela est souvent le cas pour les modèles électriques, et qui plus est, de pouvoir produire de l’eau chaude sanitaire « gratuite » dès que les températures deviennent clémentes. Ces PAC présentent des rendements en chauffage jusqu’à 150% (en version air/eau), soit l’équivalent d’un COP de 3,9 pour une PAC électrique. Ces PAC sont aussi réversibles pour réaliser la climatisation des locaux. Elles sont principalement implantées dans le tertiaire ou les locaux commerciaux. Enfin, elles sont très appréciées pour leur faible niveau sonore, l’absence de vibration, leur encombrement réduit, la faible puissance électrique appelée évitant dans certains cas, les frais d’un poste de transformation électrique, et des coûts de fonctionnement inférieurs jusqu’à 30% par rapport à une PAC électrique standard (maintenance moteur toutes les 10.000h seulement).

Les PAC dite « à absorption » présente le même principe de cycle frigorifique que les PAC à moteur gaz, mais la compression n’est plus mécanique (via un compresseur), mais par l’intermédiaire d’un simple bruleur gaz naturel qui apporte l’énergie nécessaire à la compression thermique. Les Pompes à Chaleur à absorption gaz assurent aussi la production de chauffage et d’ECS, même par basses températures extérieures et ceci sans appoint complémentaire, et sont aussi réversibles pour climatiser l’été. Ces PAC présentent de nombreux avantages : faibles puissances électriques à souscrire, peu de pièces en mouvement donc très silencieuses, robustes et à faibles cout de maintenance (essentiellement l’entretien du bruleur gaz, très similaire à celui d’une chaudière à condensation). Les PAC à absorption existent en version air/eau (jusqu’à 165% d’efficacité), ou en versions sol/eau ou eau/eau (170% d’efficacité). En outre, en version géothermique, l’installation nécessite deux fois moins de sondes verticales qu’une PAC à compression électrique. Depuis 2008, les PAC à absorption sont commercialisées pour des bâtiments tertiaires et des immeubles d’habitation neufs et existants. Courant 2011/2012, des machines de plus petites puissances (de 4 à 18kW) vont pouvoir équiper des maisons individuelles, permettant avec un rendement supérieur de 30% par rapport à une chaudière à condensation d’atteindre le niveau BBC (Bâtiment Basse Consommation).

Enfin nous trouvons les PAC Hybrides, assemblage dans un même bloc, d’une chaudière gaz ou fioul condensation associée à une PAC électrique air/eau de faible puissance. Grace à une régulation capable de mesurer en instantané la performance des deux systèmes, la priorité est donnée au plus efficace, en tirant partie du meilleur des 2 technologies, assurant 10 à 15% d’économies supplémentaires par rapport à une chaudière à condensation ou une PAC électrique. De plus, la PAC électrique étant intégrée dans le caisson dans sa version monobloc, cela évite l’installation d’une unité extérieure bruyante et inesthétique. La commercialisation de ce type de matériel hybride vient de débuter pour des modèles fonctionnant au fioul ou au gaz.

3 janvier 2010

Réduire sa facture de Gaz ou d’électricité, est-ce possible ?

facture electricite gaz edf gdf tarif reglemente fournisseur alternatif.jpgTandis qu’en 2007 les consommateurs étaient d’autant plus méfiant à accueillir la libéralisation de l’énergie, aujourd’hui plus d’un million de foyer sur 29 millions ont optés pour la concurrence en matière d’électricité.

En effet, face à la pression commerciale provenant des fournisseurs d’électricité et de gaz, la concurrence s’est accentuée sur le marché. Chacun cherchant à convaincre le consommateur que son kilowattheure est le plus abordable, le plus vert ou encore le plus stable.

Ainsi, un grand nombre de consommateur soit environ 455.000 ont quitté Gaz de France Suez pour rejoindre EDF, souvent lié à un manque d’information notoire. De son côté, GDF Suez proposait à ses consommateurs une offre de marché à laquelle il avait réussi à convertir pas moins de 500.000 foyers.

Mais quelles sont les astuces à connaitre avant de signer un contrat ? Sachez qu’en matière d’électricité seul EDF propose une offre au tarif réglementé (qui Europe oblige, va se terminer dans quelques mois). Toutes les autres offres, que ce soient celles de GDF Suez ou des nouveaux fournisseurs restent des offres de marché.

A quel prix ? Les différentes offres proposent un coût fixe mais aussi un coût variable dépendant de la quantité d’énergie consommée. Certains contrats restent plus chers au début tout en offrant une stabilité des prix sur un temps déterminé (un ou deux ans), il est donc recommandé de vérifier les modalités concernant l’augmentation des prix avant la signature du contrat. De plus, bien que l’option dite « heures creuses » n’est rarement intéressante pour les petits consommateurs d’électricité, elle est en revanche rentable pour les familles ayant des appareils à consommation d’énergie importante, c’est pourquoi, il est tout à fait possible de réduire sa facture d’énergie, mais la prudence reste de rigueur, l’offre verte demeure toujours plus onéreuse que l’offre classique, bien que l’offre verte de GDF Suez présente une particularité, en s’appuyant uniquement sur des certificats émis par des barrages hydroélectriques non subventionnés.

A titre d’exemple, si vous optez pour l’offre Dolcevita de Gaz de France, vous bénéficiez dès la souscription d’une remise de 62 euros TTC sur votre facture, avec des tarifs identiques à ceux du tarif réglementé. Et si vous optez pour la fourniture 2 énergies (gaz et électricité), hormis le fait de n’avoir plus qu’une seule facture à gérer, la remise atteint les 100 euros, soit un abonnement annuel électrique de 6kVA offert (ou 60% de remise sur l’abonnement annuel gaz). Dans tous les cas, vous vous mettrez à l’abri de toutes hausses de tarifs pendant 1 à 2 ans, sachant qu’ils augmenteront certainement dans les prochains mois.

Quels sont les services ? Outre la mise en place d’un numéro non surtaxé, accessible dorénavant au prix d’un appel local, tous les fournisseurs à l’exception de la société ALTERGAZ, vous proposeront en option facultative une facture électronique. Enfin, seul EDF, GDF Suez, Poweo et Direct Energie pourront vous suggérer de partir sur un contrat comprenant les deux énergies (gaz et électricité). En revanche, il reste important de savoir que le fait de choisir un fournisseur unique oblige le consommateur à quitter le tarif réglementé pour une des deux énergies, voir parfois les deux !

4 octobre 2009

Ouverture à la concurrence gaz et électricité en progression

fournisseur alternatif gaz electricite ouverture concurenceSelon la Commission de Régulation de l'Energie (CRE), un peu plus d'un million de particuliers sont devenus clients d'un fournisseur alternatif en électricité au 30 juin 2009 (875.000 au 31 mars 2009), 586.000 (508.000 au 31 mars 2009) pour la fourniture de gaz.

L'ouverture à la concurrence sur le marché du résidentiel se poursuit donc à un rythme soutenu chez les fournisseurs alternatifs par rapport au trimestre précédent : +18% en électricité, +15% en gaz. Sur le marché des entreprises, l’ouverture à la concurrence a faiblement évolué en électricité, contrairement en gaz avec +4%.

Les tarifs réglementés continuent à dominer le marché de l’électricité et du gaz. 95% des sites électriques (85% de la consommation) et 88% des sites gaz (55% de la consommation) sont aux tarifs réglementés.

La cheminée bio-éthanol : pas si « bio » et sans danger que ça !

cheminée bio éthanol designA l’approche de l’hiver, certains de nos clients nous questionnent sur les cheminées au bio-éthanol comme moyen de chauffage. Nous avions déjà eu l’occasion d’en parler dans un article il y a de ça quelques mois, avec un avis assez mitigé sur leur utilité globale tant en terme de confort, que d’économies d’énergie et de protection de l’environnement.

Car malgré le nom de cheminée, les cheminées au bio-éthanol chauffent très peu, aux alentours des 5kW pour les modèles les plus puissants. En outre, bien qu’elles soient moins chère à l’achat qu’une cheminée classique ou d’un poêle (quoi que avec le crédit d’impôt de 40%), il faut quand même compter 2 à 3€ le litre en moyenne de bio-éthanol, soit 5 à 6 fois plus cher que le bois d'un insert avec un rendement équivalent ! C’est d’ailleurs certainement pour cette raison que les cheminées au bio-éthanol ne sont pas considérées comme des moyens de chauffage par l’état et ne bénéficient donc pas de crédit d'impôt comme les poêles à bois bûches ou granulés.

De plus, les cheminées au bio-éthanol ne seraient pas toujours sans danger (hormis les éventuelles brulures lors de leur manipulation) suivant la pièce où elles sont installées. La combustion de l’éthanol, dégage du dioxyde de carbone (CO2) et de l’eau, sans danger pour notre santé. Mais si la cheminée est placée dans une petite pièce, ou une pièce mal ventilée, où l’air n’est pas suffisamment renouvelé, la combustion de l’éthanol ne se fera pas complètement et un dégagement de monoxyde de carbone (CO) va se produire. Ce gaz très toxique, inodore et incolore, provoque chaque année de nombreux décès à cause d’installations défaillantes et/ou non entretenues de chauffage. Ce gaz bloque les échanges de dioxygène avec l’hémoglobine du sang au niveau des poumons et entraine la mort très rapidement sans que l’on s’en rende compte.

Les distributeurs de bouteilles de gaz accusés d'entente

bouteille de gaz entente entre distributeursLe quotidien économique « La Tribune » a révélé que les 4 distributeurs de bouteilles de gaz français, Butagaz (groupe Shell), Antargaz (UGI), Primagaz (SHV) et Totalgaz (Total), qui se partagent 94% du marché français (soit environ 1 milliard d'euros de ventes), sont accusés de la part de l'Autorité de la Concurrence d'abus de position dominante, et surtout, d'entente sur les prix sur la période 1999-2004.

Comme toujours, si de telles pratiques ont (eu) lieu sur les bouteilles de gaz, ceci peut-être aussi révélateur sur ce qui se doit certainement se passer sur le prix du gaz délivré dans les cuves gaz aériennes ou enterrées, détenues par les mêmes acteurs. Il est donc temps de se tourner, notamment pour les habitats isolés (avec cuve fioul ou gaz), vers des énergies alternatives, si possible propre, comme le bois ou le solaire.

28 juin 2009

L’entretien et le contrôle des chaudières gaz évoluent

entretien annuel chaudiere gaz obligatoireL’entretien annuel des chaudières au gaz est obligatoire. Malgré cette règle, on estime que de 30 à 50% des chaudières ne seraient pas entretenues, souvent par méconnaissance de cette obligation. Par exemple, les propriétaires de chaudière individuelle sont souvent avertis par les professionnels (plombier, chauffagiste) lorsque cette dernière tombe en panne, ou bien lorsque qu’une régie immobilière demande à ses locataires le rapport d’intervention annuelle. Or selon des chiffres de l'Institut de veille sanitaire datant de 2006, dans 42% des cas d'intoxications au monoxyde de carbone (CO), l'appareil en cause est la chaudière, expliquant tout l’intérêt de la faire contrôler régulièrement.

Deux nouveaux textes pour l'entretien et le contrôle des chaudières, visant à faire évoluer la réglementation existante afin de la mettre en conformité avec la directive 2002/91 sur la performance énergétique des bâtiments, viennent d’être publiés. Un des décrets porte sur les contrôles des chaudières dont la puissance est supérieure à 400kW et inférieure à 20MW, l’autre sur l'entretien annuel pour celles entre 4 et 400kW.

Pour les chaudières d'une puissance supérieure à 400kW (estimées en France à 249.000), quatre types de contrôles sont susceptibles de se superposer : le contrôle de rendement, le contrôle périodique de l'efficacité énergétique, le contrôle des émissions polluantes et les contrôles au titre des installations classées.

Le deuxième décret vise l’entretien annuel des chaudières dont la puissance est comprise entre 4 et 400kW, dont spécificités techniques et les modalités doivent être précisées par arrêté. Cette tranche de chaudières représente la quasi-totalité des chaudières à vocation de chauffage de bâtiment.

GAZ : Pas de baisse des tarifs en juillet !

tarif gaz de france gdf suezSelon le Journal du Dimanche, les tarifs réglementés du gaz naturel devraient rester inchangés au 1er juillet prochain, et ceci malgré la baisse des cours du baril de pétrole les mois derniers.

Les tarifs du gaz naturel réglementés appliqués par GDF Suez sont déterminés par une formule complexe prenant en compte le prix du pétrole (avec un décalage d’environ 6 mois), le cours du dollar, ainsi que les coûts d'acheminement, de stockage et de commercialisation du combustible, et sont décidés par gouvernement après avis de la Commission de régulation de l’énergie.

Suite à la forte baisse des cours du baril de pétrole survenue entre octobre 2008 et avril 2009, une baisse des tarifs du gaz avait eu lieu le 1er avril dernier. Mais cette baisse avait été jugée insuffisante par les associations de consommateurs qui demandaient alors une baisse de 20% au lieu des 11,3%, surtout après une hausse de 15,8% en 2008 !

Toutefois, la récente hausse du cours du pétrole fait redouter au gouvernement une nouvelle flambée, et il aurait au contraire décidé de geler les tarifs cet été, affirme le JDD.