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17 décembre 2008

Le Parlement européen avalise le plan climat

Cinq jours après le compromis trouvé vendredi au sommet européen sur ce plan climat, les députés européens viennent ce mercredi de l’approuvé à une très large majorité pour les six textes soumis au vote.

Pour rappel, ce plan vise, par des mesures contraignantes pour les Etats membres et leur industrie, à réduire en 2020 les émissions de gaz à effet de serre de l'UE de 20% par rapport à 1990, à porter à 20% la part des énergies renouvelables dans la consommation de l'UE et à réaliser 20% d'économies d'énergies.

16 décembre 2008

Réchauffement climatique par le méthane

Le méthane est un GES (gaz à effet de serre) bien plus nocif que le CO2 (son effet est 25x plus important), mais heureusement bien moins présent dans les émissions terrestres (participe qu’à hauteur d’environ 15% dans le réchauffement) et sa disparition dans l’atmosphère est bien plus rapide que celle du CO2. Est-ce pour cela que nos gouvernements ne s’y intéressent très peu (pas d’annonce lors des dernières conférences climatiques) ?

Le méthane provient essentiellement (65%) de l’agriculture via les émissions des rots et pets de nos ruminants, des lisiers, et des déjections accumulées des bovins et des porcins. Les décharges de déchets organiques ou des sites divers de combustion ou de fermentation, participent aussi un peu aux émissions de méthane. Pour information, une vache de 600 kg produit chaque année plus de gaz à effet de serre qu’une voiture moyenne roulant 15 000km !

Le méthane mérite donc que l’on s’intéresse à lui, même si il est plus facile dans un premier temps de s’attaquer aux rejets de CO2 que de « supprimer » nos « chers » ruminants…

Comme le butane ou le propane, le méthane est un gaz combustible très énergétique. La récupération de ses émissions serait donc un premier effort possible pour les limiter avec sans doute une plus grande rentabilité que la diminution des émissions de CO2 !

11 décembre 2008

Le soleil responsable du changement climatique sur terre

De nombreuses études expérimentales indiquent qu’il y aurait une relation entre les cycles du soleil (matérialisé par l’activité des taches solaires) d’une durée moyenne de 11 ans et les températures observées sur terre, ou encore entre le rayonnement cosmique et la température observés dans des carottes de forages profonds qui vont jusqu’à 500 millions d’années.

En effet, les éruptions solaires produisent des orages magnétiques qui selon leur intensité dévient plus ou moins les radiations ionisante du soleil que nous recevons sur terre et qui ont pour effet la formation de nuages. Ainsi, lorsque le soleil a de fortes éruptions solaires (comme en ce moment), les radiations ionisantes reçues sur terre sont à l’inverse minimum et la formation nuageuse est moindre d’où une élévation de la température. Les experts indiquent que les nuages ont une influence bien plus importante (entre 60 et 95%) sur le climat que la proportion de CO2 dans l’atmosphère (5 à 25%).

Même si ces études se vérifient, je crois quand même qu’il faut poursuivre tous nos effort entrepris dans la réduction des gaz à effet de serre et les économies d’énergie, car dans tous les cas, qu’on se le dise, les énergies fossiles sont bien en voie de disparition…

5 décembre 2008

La montée des eaux se précise

Malgré les températures hivernales, le réchauffement climatique est bien présent et la montée des eaux se précisent. Ainsi la mer a atteint cette semaine à Venise un niveau record avec 1,56 m au-dessus de la normale, soit la cote la plus élevée jamais atteinte depuis vingt-deux ans.

De leur côté, les Pays-Bas se préparent eux aussi à d’éventuelles inondations liées au réchauffement de la planète. Ils envisagent de renforcer une nouvelle fois leurs digues en prévision de l’élévation attendue du niveau de la mer. Montant estimé des travaux nécessaires : entre 1,2 et 1,6 milliard d’euros par an jusqu’en 2050 !

Neuf catastrophes naturelles sur dix sont liées au climat !

C’est ce que vient de souligner l’ONU dans un communiqué lors de la conférence sur le changement climatique qui se déroule à Poznan en Pologne jusqu'au 12 décembre.

Au cours des 20 prochaines années, ces catastrophes ne feront que croître en nombre et intensité. Par exemple, le nombre de catastrophes enregistrées a doublé de 200 à 400 par an sur les deux dernières décennies. Il y a eu environ 50 grandes inondations en 1985 contre plus de 200 en 2005. Entre 1988 et 2007, 75% des catastrophes ont été liées au climat, causant 45% des morts et 80% des pertes économiques causées par des catastrophes naturelles.

Les agences humanitaires des Nations Unies ont donc appelé mercredi à une accélération des efforts pour réduire les risques de catastrophes naturelles, et surtout mieux se préparer à leurs conséquences dans les pays « riches » car 97% des décès liés à ces dernières ont lieu dans des pays en développement. Mais cela arrive déjà quelques chez nous !

Les mauvais chiffres américains !

L'Administration fédérale américaine de l'information énergétique vient de communiquer son rapport concernant les émissions de gaz à effet de serre aux Etats-Unis. Ils ont malheureusement encore augmenté de 1,4% en 2007 par rapport à 2006.

Les émissions de GES américaines ont ainsi dépassé de près de 17% le niveau enregistré en 1990, année de référence suite au protocole de Kyoto, protocole auquel les Etats-Unis n'ont pas adhéré. On comprend pourquoi !

Barack Obama a annoncé durant sa compagne vouloir d'ici 2020 ramener ce niveau à celui de 1990, pour ensuite le réduire fortement à l'horizon 2050. On n’y est pas encore… !

2 décembre 2008

Réchauffement climatique : 1 an pour sauver la planète !

La conférence des Nations unies sur le changement climatique qui se tient depuis hier à Poznan en Pologne tire la sonnette d’alarme : il ne reste plus qu’un an avant de trouver une entente mondiale pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique. Un désaccord aurait, à terme, des conséquences dramatiques, a indiqué le président des travaux Maciej Nowicki : « énormes sécheresses et inondations, cyclones dévastateurs, pandémie de maladies tropicales, ... ».

Mais la crise économique a durement éprouvé la volonté internationale de lutter contre les changements climatiques

Source : CyberPress