Selon le magazine National Geographic et l’institut de sondage Globescan, qui ont mené pour la deuxième année consécutive une enquête en ligne auprès de 17.000 consommateurs de 17 pays, évaluant leur comportement dans quatre domaines (logement, transport, alimentation et produits de consommation), les consommateurs de la planète sont plus attentifs à l’impact de leur mode de vie sur l’environnement. Une prise de conscience certainement stimulée par la crise économique qui nous oblige tous à revoir nos dépenses d’énergie.
Ainsi, l’Inde, le Brésil et la Chine arrivent en tête, alors que les Américains et les Canadiens sont toujours bons derniers en termes d’impact de leurs modes de vie et de consommation sur l’environnement. La France, l’Espagne, et l’Allemagne font quant à eux de nets progrès, alors que la Russie et le Mexique régresse un peu. Les progrès se situent surtout au niveau des économies d’énergie dans le logement (modes de chauffage économiques et écologiques) et dans les transports (à cause de la hausse des prix des carburants, plus de transport en commun, plus de covoiturage, ou plus de vélo…).
La crise économique mondiale semble donc été le moteur de cette évolution, 80% des personnes interrogées expliquant que l’argent reste la principale raison qui les pousse à réduire leur consommation d’énergie. C’est aussi une bonne nouvelle pour l’environnement, en espérant que ces changements positifs dans les comportements survivront à la reprise…
Ainsi, l’Inde, le Brésil et la Chine arrivent en tête, alors que les Américains et les Canadiens sont toujours bons derniers en termes d’impact de leurs modes de vie et de consommation sur l’environnement. La France, l’Espagne, et l’Allemagne font quant à eux de nets progrès, alors que la Russie et le Mexique régresse un peu. Les progrès se situent surtout au niveau des économies d’énergie dans le logement (modes de chauffage économiques et écologiques) et dans les transports (à cause de la hausse des prix des carburants, plus de transport en commun, plus de covoiturage, ou plus de vélo…).
La crise économique mondiale semble donc été le moteur de cette évolution, 80% des personnes interrogées expliquant que l’argent reste la principale raison qui les pousse à réduire leur consommation d’énergie. C’est aussi une bonne nouvelle pour l’environnement, en espérant que ces changements positifs dans les comportements survivront à la reprise…